L'association Atlas-AFMI s’est constituée dans le courant de l’année 2008, autour d’un ouvrage consacré à la mondialisation et à son impact, souvent paradoxal sur les agents économiques comme sur les pays: rassemblant des enseignants-chercheurs représentant plus de dix institutions académiques (universités et écoles de gestion françaises), tous étroitement impliqués dans les relations de leurs institutions respectives avec des institutions étrangères et avec les organisations opérant hors de leurs frontières d’origine (dans les zones francophones et au-delà).
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L'association internationale Atlas-AFMI est née d'une rencontre entre quelques passionnés de l'international. Quelques personnes pour qui l'ouverture sur le monde était une aventure tant personnelle que professionnelle, et pour laquelle elles s'investissaient depuis longtemps. Mais si elles se sentaient irrésistiblement attirées par cette tendance lourde à la globalisation, elles constataient également que de nombreux paradoxes étaient consubstantiels à cette tendance. Ainsi émargea un premier ouvrage sur "les paradoxes de la globalisation des marchés" qui avait réuni de nombreux auteurs. Mais à-peine cet ouvrage fut publié que de nouvelles tendances se faisaient jour, que de nouveaux paradoxes émergeaient, que de nouvelles questions se posaient. Pourquoi ne pas mobiliser autour de ces questions cette première équipe ? Pourquoi ne pas développer des études, regrouper tous les passionnés du sujet ? L'association Atlas-AFMI était née ! |
Conscients de l’importance croissante de l’ouverture internationale et de son impact sur les activités des entreprises et des organisations, ils ont constaté l’absence, en France, de structures fédératrices propres à ce champ associant recherche et enseignement, tout en s’attachant principalement aux problématiques d’internationalisation issues du terrain. Ils se sont rejoints, en outre, pour constater l’importance accrue des pays émergents -et, particulièrement, des pays à croissance rapide- dans la redistribution géographique, la nouvelle répartition des activités et l’intensification des flux d’échanges et d’investissements mondiaux.
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